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Espace multimédia / Economie / Le partage inégale des revenus et du patrimoine
16/09/2011 La mesure des inégalités

La mesure des inégalités
La mesure des inégalités

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16/09/2011 Economie américaine, les inégalités

Economie américaine, les inégalités
Economie américaine, les inégalités

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23/03/2013 Le partage de la VA

Le partage de la VA


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23/03/2013 XERFI Canal: Peut-on modifier le partage profit-salaire? par Gilbert CETTE

 XERFI Canal: Peut-on modifier le partage profit-salaire? par Gilbert CETTE
Mise en ligne le 17 juin 2011

La question du partage de la valeur ajoutée entre revenus du travail et revenus du capital est abordée dans de nombreuses analyses et débats concernant la croissance ou les inégalités. Mais la littérature économique ne fournit que peu d'indications sur le partage qui pourrait être « optimal », par exemple pour dynamiser la croissance.
Le diagnostic sur l'orientation du partage de la valeur ajoutée dépend de l'indicateur retenu.
Depuis les années 1990, dans le périmètre des sociétés non financières, ce partage fluctue en France autour d'un niveau qui paraît stabilisé alors que la part des salaires diminue dans certains pays, comme l'Allemagne, ou augmente dans d'autres, comme l'Italie.
Parallèlement à ces évolutions divergentes, la part des revenus salariaux les plus élevés a partout nettement augmenté. Cela signifie que la grande majorité des salariés n'a pas complètement bénéficié des fruits de la croissance. La décomposition de la part du capital révèle également d'importants mouvements.
Finalement, durant la crise née en 2008, la part du coût salarial dans la valeur ajoutée a augmenté dans tous les pays, mais on observe en France une résistance particulière des revenus de la propriété.

Gilbert Cette est directeur des analyses microéconomiques et structurelles de la Banque de France, Professeur associé à l'Université de la Méditerranée et membre du Conseil d'analyse économique.

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23/03/2013 Partage de la valeur ajoutée en récession économique

 Partage de la valeur ajoutée en récession économique
Par La Vie des Idées
Travail précaire, capital protégé
Le nouveau partage des risques économiques

Le partage de la valeur ajoutée fait l’objet d’intenses débats publics en France. Mais un aspect essentiel de la question passe souvent inaperçu : le partage inégal des risques liés aux cycles économiques. Depuis les années 1990, la part du capital ne baisse plus au moment de la récession, comme elle l’avait fait dans les années 1970 ou lors de la Grande Dépression.
Le rapport Cotis sur le partage de la valeur ajoutée doit être remis au Président de la République, mercredi 13 mai. Pour cette occasion, la Vie des idées a demandé à Philippe Askénazy, économiste et spécialiste du monde du travail, de livrer sa vision de cet enjeu fondamental. Il en ressort que la nouvelle donne n’est pas tant l’évolution structurelle que l’absence de volatilité : classiquement, la part du capital tend à baisser au moment des crises et des récessions. Or depuis les 1990, ce n’est plus le cas. Dans cet entretien Philippe Askénazy explique les raisons de cette évolution et propose plusieurs pistes pour inverser la tendance.

Retrouvez l'intégralité de l'entretien sur La Vie des idées (www.laviedesidees.fr).

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23/03/2013 Comment rétablir un partage plus juste de la valeur ajoutée

Comment rétablir un partage plus juste de la valeur ajoutée


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23/03/2013 Une hausse du salaire minimum menace-t-elle l'emploi ?

Une hausse du salaire minimum menace-t-elle l'emploi ?


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23/03/2013 Le manque à gagner pour les travailleurs

Le manque à gagner pour les travailleurs


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23/03/2013 Les mécanismes de la redistribution

Les mécanismes de la redistribution
La redistribution est un ensemble de mesures qui vise à assurer une plus grande répartition des richesses entre les individus. Ces mesures passent par des prélèvements obligatoires sur la richesse des ménages, sous forme dimpôts et de cotisations sociales, et par le versement de revenus de transfert tels que les allocations familiales, les indemnités chômage, les pensions de retraite ou encore le revenu minimum dinsertion. Donc, au total, le revenu disponible dun ménage se mesure comme la somme de son revenu primaire et des prestations sociales quil a perçus dont on retranche les impôts et les cotisations sociales quil a versés.

Lobjet de la redistribution cest de réduire les écarts de revenu qui existent entre les ménages. Cest vrai que, tout au long du vingtième siècle, les inégalités de revenu se sont réduites en France, mais on constate quelles existent toujours puisque, en 2004, on estimait quaprès prélèvements obligatoires et versements des prestations, 10% des ménages les plus pauvres ne percevaient que 3% du total des revenus, tandis que les 10% les plus riches percevaient près de 25% du total.

Le système dimposition qui sert au financement de la redistribution peut être conçu lui-même à des fins redistributives, notamment avec une logique dimposition progressive. Un impôt est dit progressif lorsque le taux dimposition augmente avec la base dimposition. Cest le cas avec limpôt sur le revenu. Plus le revenu dun ménage est élevé, plus le taux dimposition qui est appliqué est élevé, et donc plus les impôts versés par ce ménage au titre du revenu sont élevés. A linverse, avec un impôt non proportionnel, le taux est unique et ne dépend pas du niveau du revenu du ménage. Cest le cas, par exemple, avec la CSG ou la TVA. Avec ce type dimpôt, on naide pas à plus de redistribution, contrairement à un impôt proportionnel.

Plusieurs arguments militent en faveur dune politique de redistribution, puisque la redistribution permet délever la solvabilité des ménages, donc la consommation et donc la croissance économique. Elle permet plus de justice sociale, puisquelle permet de réduire les écarts de richesse entre les ménages. Elle permet, également, dimposer une solidarité entre les agents et donc de parvenir à plus de cohésion sociale.

Néanmoins, la redistribution peut avoir des effets néfastes. En effet, la charge que représentent les revenus de transfert est particulièrement lourde pour la société, puisquelle représente près de 29,5% du PIB en 2005. Cette charge repose principalement sur les revenus du travail, donc le risque est que si limposition est jugée beaucoup trop confiscatoire, beaucoup trop élevée relativement à ce qui peut être pratiqué dans dautres pays, on peut assister à une expatriation fiscale des ménages les plus riches et des entreprises.

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23/03/2013 Dr Cac - Les prélèvements obligatoires, qu'est ce que c'est ?

Dr Cac - Les prélèvements obligatoires, qu'est ce que c'est ?


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23/03/2013 La notion de pauvreté

La notion de pauvreté
La pauvreté est l'incapacité des individus à satisfaire leurs besoins essentiels. En septembre 2000, l'Assemblée générale des Nations-unies a adopté la déclaration du millénaire. 189 gouvernements ont décidé d'unir leurs efforts en matière de développement. Un des principaux objectifs est celui de réduire de moitié la pauvreté extrême entre 1990 et 2015. La pauvreté absolue regroupe l'ensemble des personnes qui ont un revenu inférieur à un certain seuil budgétaire convenu. Par exemple, actuellement 1 milliard de personnes sur 1/6e de la population vit avec moins d'1 dollar par jour. Néanmoins, être pauvre en France ou en Sierra Leone ne veut pas dire la même chose, puisque les normes de société sont différentes. C'est ainsi que l'on parle de notion de seuil de pauvreté relatif. En France, par exemple, ce seuil de pauvreté est fixé à 50% du revenu médian. Mais, au-delà de l'approche monétaire, l'ONU a voulu complexifier cette notion de pauvreté en intégrant non plus seulement le niveau de vie mais aussi les possibilités d'accéder aux soins ou les difficultés d'accéder aux services d'éducation. C'est ainsi que, depuis 1990, elle calcule l'IDH, l'indicateur de développement humain pour chaque pays qui classe les pays selon non plus seulement les conditions financières mais tout un ensemble d'informations concernant la précarité dans les pays. Pourquoi la pauvreté contraint la croissance économique ? Parce que, dans un pays pauvre et principalement dans les pays les moins avancés, l'épargne est faible, les ressources financières ont du mal à être mobilisées pour les investissements privés et publics, la pauvreté aussi se répercute sur les comptes budgétaires des Etats qui, la plupart du temps, mènent des stratégies de lutte contre la pauvreté. Ensuite, dans certains pays où la pauvreté est persistante, la population peut être un peu en colère et cela peut mener à des troubles sociaux et politiques. Donc où en est-on de la pauvreté ? Sept ans après la signature de ces objectifs du millénaire, l'ONU constate que l'extrême pauvreté a diminué dans le monde et, en particulier, en Asie. L'Afrique sub-saharienne pourrait, néanmoins, ne pas parvenir à atteindre les objectifs du millénaire, notamment en raison de la propagation du virus du sida, la difficulté à promouvoir l'égalité des sexes ou encore en raison des menaces qui pèsent sur les ressources en raison des changements climatiques.

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23/03/2013 Crise : 13,5% de la population vit sous le seuil de pauvreté

 Crise : 13,5% de la population vit sous le seuil de pauvreté
On en vient maintenant à ces chiffres, préoccupants sur la progression de la pauvreté dans notre pays. Au moins 13,5% des Français vivent en-dessous du seuil fatidique des 954 euros par mois. Ce qui est choquant aussi, c'est que les inégalités se creusent. Les riches, eux, sont encore plus riches. L'impact de la crise économique a été ressenti à partir de 2009. En un an, le nombre de pauvres en France est passé de 7 800 000 à 8 200 000. Le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté est passé de 13 à 13,5%. Les pauvres vivent avec moins de 954 euros par mois. La pauvreté s'explique par la hausse du chômage. Les chômeurs sont plus touchés que les autres par la pauvreté. Il y a plus d'un tiers des chômeurs qui se situent sous le seuil de pauvreté. En 2009, le chômage a globalement augmenté. Il a augmenté plus rapidement au sein des personnes modestes. La pauvreté n'a pas épargné les salariés. Emplois plus précaires, moins rémunérés, les actifs vivant sous le seuil de pauvreté sont plus nombreux. L'Insee note que les différentes allocations ont permis de limiter les effets de la crise. Les inégalités se sont creusées. Les 10% les plus modestes ont vu leur niveau de vie baisser, les 10% les plus aisés ont vu leur niveau de vie augmenter.

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23/03/2013 2007-2012 : Les inégalités sociales

2007-2012 : Les inégalités sociales
Publiée le 16 avril 2012

A l'heure où le quinquennat touche à sa fin, le président de la République doit assumer un bilan social controversé. En 2007, le candidat Sarkozy voulait réduire la pauvreté en France "d'au moins un tiers en cinq ans", ramener le chômage "à moins de 5%" et que "d'ici deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d'y mourir de froid".VIDEOGRAPHIE

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23/03/2013 Inégalités record dans les pays riches selon l'OCDE

 Inégalités record dans les pays riches selon l'OCDE
Publiée le 5 déc. 2011

http://fr.euronews.net/ Les écarts de revenus s'accroissent dangereusement dans les pays développés : c'est ce qu'indique un nouveau rapport de l'OCDE sur le sujet. Dans ce rapport l'Organisation pour la coopération et le développement économique lance un avertissement : les gouvernements doivent agir sans délai pour combattre les inégalités.

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23/03/2013 France : la pauvreté a gagné du terrain

France : la pauvreté a gagné du terrain
Publiée le 30 août 2011

En France, l'impact de la crise économique sur l'économie et le marché du travail s'est traduit en 2009 par le ralentissement de la progression du niveau de vie et par la remontée du taux de pauvreté : c'est ce que montre une étude publiée mardi par l'institut national de la statistique.

En 2009 en France, 8,2 millions de de personnes vivaient en dessous du seuil de pauvreté calculé à 954 euros mensuels. Soit 13,5% de la population : un demi-point de plus qu'en 2008.
...
http://fr.euronews.net/

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23/03/2013 Mesurer les inégalités : la courbe de Lorenz

Mesurer les inégalités : la courbe de Lorenz


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23/03/2013 Le patrimoine des ménages français en 2010

 Le patrimoine des ménages français en 2010

Mise en ligne le 31 déc. 2011

Exploitation des données de l'enquête patrimoine de l'Insee à l'aide la bibliothèque raphael.js. Les données complètes sur http://www.vilnusatyx.net/pages/conte...

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23/03/2013 Dr Cac - C'est quoi la CSG ?

 Dr Cac - C'est quoi la CSG ?


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05/12/2013 La question des inégalités économiques

La question des inégalités économiques
par Nicolas BOUZOU

Pays développés : tradition égalitaire, mais depuis les années 1990 augmentation des inégalités économiques. Fragmentation de la classe moyenne par le haut : plus de personnes riches à fort pouvoir d’achat ; par le bas : augmentation du taux et de l’intensité de la pauvreté.

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14/01/2017 Le revenu universel : est-ce une bonne idée ?

Le revenu universel : est-ce une bonne idée ?
Le revenu universel consisterait à verser tous les mois une somme à chaque citoyen, sans aucune condition. Cette somme serait cumulable avec d’autres revenus, comme les salaires.
Cette idée est très controversée.
En effet, pour ses détracteurs, il encouragerait l’inactivité et l’assistanat, car ceux qui décideraient de ne pas travailler profiteraient de ce système sans participer directement à son financement.
Pour ses partisans, il favoriserait l’égalité et la liberté des citoyens, car chacun recevrait le même montant et pourrait décider de travailler pour gagner davantage, ou de ne pas travailler ce qui permettrait, par exemple, de développer le bénévolat.
Cependant, les partisans du revenu universel ne sont pas tous d’accord sur ses modalités d’application.
Leur 1er point de désaccord concerne le profil des bénéficiaires : certains proposent de le donner sans condition d’âge. Ainsi, les citoyens le recevraient tout au long de leur vie. D’autres veulent le donner seulement aux adultes, ou encore donner un montant plus faible aux jeunes.
Leur 2e point de désaccord concerne le montant : certains souhaitent qu’il ne soit pas trop élevé, c’est-à-dire autour de 500 euros comme le RSA actuel, pour ne pas encourager l’inactivité. D’autres souhaitent que son montant soit plus élevé, c’est-à-dire autour de 1 000 euros, pour que les citoyens aient le choix de travailler ou non.
Leur 3e point de désaccord concerne le mode de financement : en effet, plus le montant du revenu universel est élevé, plus le financement doit être important. Comme les dépenses de l’Etat vont augmenter avec le revenu universel, certains souhaitent compenser cette hausse en supprimant une partie des aides existantes, comme le RSA, les aides au logement, les allocations chômage et les pensions de retraite. D’autres souhaitent financer cette augmentation en augmentant l’impôt sur le revenu, ou en créant un nouvel impôt sur les transactions financières qui taxerait les ventes d’actions en bourse.
Leur 4e point de désaccord concerne les conséquences sur le marché du travail : certains pensent que la mise en place du revenu universel doit s’accompagner de la suppression du salaire minimum. Ainsi, les employeurs pourraient moins rémunérer les emplois peu qualifiés, car ils considéreraient que l’Etat prend en charge une partie des salaires. Pour les autres, le revenu universel doit s’ajouter au salaire minimum, afin d’augmenter le pouvoir d’achat.
L’idée d’instaurer un revenu universel revient souvent dans les débats politiques. En Finlande, par exemple, un revenu de base de 800 euros par habitant pourrait être instauré en 2017.

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14/01/2017 L’élaboration du budget de l’Etat

L’élaboration du budget de l’Etat
Le budget de l’Etat est constitué de recettes et de dépenses. 95% des recettes sont des recettes fiscales. C’est-à-dire :
• les impôts : sur le revenu, les sociétés et le patrimoine;
• et les taxes : sur la valeur ajoutée ou les produits pétroliers par exemple.
Les dépenses sont elles de 4 natures :
• Les dépenses de fonctionnement comme les salaires des fonctionnaires.
• Les dépenses d’intervention dans le domaine social et économique (comme les allocations
chômage) mais aussi international (comme la contribution à l’Union Européenne).
• Les dépenses d’équipement et d’investissement : la construction d’une route par exemple.
• Depuis plus de 30 ans l’Etat dépense plus qu’il ne perçoit. On dit qu’il est en déficit budgétaire.
L’Etat s’est endetté pour faire face à l’accumulation de ses déficits. Il faut donc ajouter un 4ème poste de dépenses liées aux intérêts de cette dette.
Attention, nous parlons ici de déficit « budgétaire » – qui ne comprend que les dépenses et les recettes de l’Etat – et non de déficit « public », qui prend également en compte celles des collectivités territoriales et de la sécurité sociale.
Dans la zone euro, tous les pays se sont engagés à présenter un déficit inférieur à 3% du PIB. Pour réduire son déficit, l’Etat a deux leviers à sa disposition : l’augmentation de ses recettes et la réduction de ses dépenses. Ce sont le gouvernement et le parlement qui déterminent quel levier privilégier lors de l’élaboration du budget.
Pour cela, chaque année de janvier à septembre, tous les ministres participent, sous la coordination du ministre du budget, à la préparation du budget de l’année suivante dans ce qu’on appelle le Projet de Loi de Finances. La loi de finances doit ensuite être adoptée par le Parlement puis promulguée par le Président de la République avant le 31 décembre. Tout au long de ce processus, des institutions indépendantes, telles que la Cour des comptes ou l’Union européenne, exercent un contrôle.
Pour établir le budget, le gouvernement doit tenir compte des prévisions de croissance. En effet, si l’activité économique ralentit et que le chômage augmente, les recettes fiscales de l’Etat diminueront et certaines de ses dépenses, les allocations chômage notamment, augmenteront.
Réciproquement, les choix en matière budgétaire ont des effets sur l’activité économique : en effet, si l’Etat dépense davantage en prestations sociales afin d’augmenter le pouvoir d’achat des ménages, cela peut avoir un effet positif sur la consommation et la croissance.
Les orientations retenues dans le budget sont déterminantes pour les politiques publiques. Il est donc essentiel qu’elles soient analysées et discutées dans le débat public.

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