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Espace multimédia / Economie / Les facteurs de la croissance
26/03/2011 La croissance économique

La croissance économique
La croissance économique, c’est l’augmentation du PIB. Cette augmentation du PIB provient de différentes sources que nous allons examiner. Elle est différente de ce que l’on appelle, parfois, l’évolution du revenu par tête. Alors commençons par la croissance du PIB. Cette croissance économique est parfois négative, par exemple en période de récession, on parle souvent de croissance, mais en fait c’est une évolution. Pour bien comprendre la relation avec le revenu par tête, il faut voir que si, par exemple, vous avez une population qui n’augmente pas (0%) et que vous avez une croissance économique de 3%, chacun va bénéficier de cette croissance à hauteur de 3%, 3% – 0 = 3.

En revanche, si, par exemple, la population augmente de 2%, vous aurez une progression du revenu par tête de 3% (croissance) -2% population = 1%. Donc, il faut bien faire cette distinction. Maintenant, les origines de la croissance économique. Celle-ci provient de la mise en ½uvre de facteurs de production, on les connaît, le travail, le capital et la qualité avec laquelle ces deux facteurs sont mis en ½uvre, ce qu’on appelle la combinaison productive.

Commençons par le travail. La quantité de travail mise en ½uvre dépend de la population en âge de travailler. On peut utiliser tout ou partie de cette population en âge de travailler. Cela va donc aussi dépendre du chômage et du taux d’activité. En revanche, si on regarde à long terme pour la croissance, c’est bien la base, la population en âge de travailler, qui peut participer à cette croissance. Cela c’est l’aspect volume, l’aspect quantité.

A côté de cela, il y a un aspect qualité, quelle est la qualification de la main-d’½uvre ? Quelle est la qualification de cette population en âge de travailler ? Plus cette qualification va être élevée ou plus elle va s’améliorer, et plus on va pouvoir en tirer une croissance forte. Cette qualification va être mesurée, par exemple, par la part de la population en âge de travailler qui a dépassé tel ou tel niveau de qualification.

Le deuxième facteur de production c’est le capital ; là encore, même distinction, le capital physique d’un côté, la quantité de machines, la quantité de bâtiments dans lesquels on installe ces machines aussi bien dans l’industrie que dans le secteur tertiaire d’ailleurs. D’autre part, la qualité de ce capital, c’est-à-dire quelle est l’intensité de connaissances technologiques incorporées à l’intérieur de ce capital. Donc, vous pouvez avoir plus de croissance avec soit plus de capital soit avec du capital qui est plus intense en technologie, en innovation par exemple.

Enfin, troisième élément : la mise en ½uvre de ces deux facteurs, la combinaison productive. Cette mise en ½uvre est-elle efficace ou pas, plus on va vers l’efficacité, plus on va tirer la croissance à quantité de travail donnée et à quantité de capital donnée, parce que l’on améliorera la manière dont ces deux facteurs sont utilisés.

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26/03/2011 Croissance économique en Chine

Croissance économique en Chine
Croissance économique en Chine

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26/03/2011 Le capital humain

Le capital humain
Le capital humain joue un rôle clé dans le processus de croissance des économies. En effet, pour produire, une économie utilise un certain nombre d’éléments qu’on appelle des facteurs de production. On distingue traditionnellement deux types de facteurs. D’une part, le capital physique qui regroupe les machines et équipements, la terre, l’énergie. D’autre part, le facteur travail. La croissance d’une économie dépend de l’accroissement de la quantité de ces facteurs de production (nombre de travailleurs, nombre de machines et équipements) mais aussi bien sûr de l’accroissement de l’efficacité avec laquelle ces facteurs sont utilisés dans le processus de production qui est appréhendée à travers le concept de productivité totale des facteurs. En retour, cette productivité totale des facteurs est affectée par la qualité des facteurs de production : qualité du capital physique, bien sûr, dans la mesure où une machine neuve incorporant les dernières innovations technologiques produit évidemment davantage et plus rapidement qu’une machine usée et obsolète, mais aussi qualité du facteur travail qui est précisément ce qu’on appréhende à travers le concept de capital humain.
Ce capital humain dépend du niveau d’éducation moyen de l’ensemble des travailleurs, de leurs conditions de santé mais aussi de l’expérience qu’ils ont pu acquérir au fil de leur vie professionnelle et il affecte de manière extrêmement importante l’accroissement de la productivité totale des facteurs et le processus de croissance des économies. Tout d’abord, de manière évidente parce qu’un travailleur hautement qualifié et en bonne santé produit davantage et plus rapidement avec un même équipement et dans un même laps de temps qu’un travailleur malade et analphabète et, d’autre part, parce qu’un travailleur hautement qualifié est davantage apte à créer de nouvelles technologies, à innover, ou à assimiler celles qui ont été créées ailleurs. Cela en retour augmente la qualité du capital physique dont on a parlé précédemment et accroît la productivité totale des facteurs.
Il est donc essentiel pour les différents Etats d’investir dans les politiques d’éducation et de santé. Le faible niveau de capital humain qui prévaut par exemple dans les pays émergents d’Afrique ou d’Amérique latine (taux d’analphabétisme élevés, durées moyennes de scolarisation faibles, espérances de vie limitées est l’un des facteurs invoqués pour expliquer la médiocrité de leurs performances relatives.

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26/03/2011 Progrès technique et emploi

Progrès technique et emploi
Le progrès technique peut prendre des formes très différentes. Mais, schématiquement, on considère quil va consister soit en linvention de nouveaux biens, de meilleure qualité que ceux qui existaient auparavant, ou alors de nouveaux procédés de fabrication ou modes dorganisation de la production, plus efficaces au sens où ils utiliseront moins de facteurs de production.
Alors, linfluence du progrès technique sur lemploi, au niveau microéconomique, cest un peu au cas par cas. Par moment, il peut réduire la demande de travail, par exemple lorsquon automatise une chaîne de production dans une usine, ou alors il peut, au contraire, accroître la productivité du travail, par exemple quand on remplace la charrue par un tracteur.
Au niveau macroéconomique et dans le long terme, on observe, toutefois, que le progrès technique a tendance à accroître, dune part, la productivité du travail, cest-à-dire la quantité produite par travailleur et, dautre part, lintensité capitalistique, cest-à-dire la quantité de capital immobilisée pour la production et utilisée. En étant plus rapide dans certains secteurs que dans dautres, le progrès technique joue un rôle très important dans la réallocation des emplois dun secteur vers un autre. Par exemple, dans les vingt-cinq dernières années, dans lindustrie, la productivité du travail a augmenté de plus de 128%. Cela sest traduit par une réallocation massive des emplois depuis lindustrie vers le secteur des services où la valeur ajoutée a crû de plus de 80% mais où laccroissement de la productivité du travail et les progrès techniques ont été beaucoup plus faibles, de lordre de 16%. Cette réallocation se fait sur longue période, mais elle est souvent longue et difficile, notamment parce que les emplois sont créés à certains endroits et détruits à dautres et que ces nouveaux emplois requièrent des compétences différentes.
Globalement, le progrès technique a tendance à modifier le type demploi demandé et les compétences requises, et on observe, en fait, quil a tendance à accroître la demande demplois qualifiés et les rémunérations de lemploi qualifié au détriment de lemploi moins qualifié. Il doit saccompagner dun accroissement et dune adaptation des compétences de la population active et des qualifications. Il peut être source de chômage pour les populations peu qualifiées et donc doit saccompagner de politiques spécifiques.

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26/03/2011 Les investissement en RD

Les investissement en RD
Il y a trois catégories de recherche-développement : la recherche fondamentale qui vise à acquérir des connaissances nouvelles, sans une implication pour un produit quelconque à trouver ; la recherche appliquée, toujours acquisition des connaissances nouvelles mais dans lobjectif de trouver des débouchés en termes de produits ; et puis il y a la recherche expérimentale qui, elle, à partir des connaissances existantes, recherche une implication directe en termes de nouvelles technologies, de nouveaux produits, de nouveaux matériaux.

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26/03/2011 Nouvelles technologies et gains de production

Nouvelles technologies et gains de production
Commençons par définir ce que sont les gains de productivité.
La productivité, dans sa définition la plus fréquemment retenue, relative au travail, rapporte la quantité de produits à celle du travail utilisé durant le processus de production. Mais, même à ce niveau de définition relativement simple, les difficultés de mesure ne manquent pas : productivité du travail par tête, productivité du travail horaire. Et ces différences ne sont pas neutres dès lors que lon veut comparer les performances en matière de productivité des Etats-Unis et de lEurope. En outre, on peut étendre la notion de productivité à dautres facteurs de production que le travail, au capital, ou aux matières premières par exemple. Au total, ce qui va compter, cest la quantité de richesse produite par par unité, et donc également la productivité de la combinaison du travail avec celle du capital dans un processus de production donné.
Laugmentation de la productivité est un bon proxy de la réduction des coûts de production et, en ce sens, constitue une bonne mesure du progrès technique. En effet, celui-ci est souvent considéré comme permettant de une réduction des coûts de production par une meilleure allocation des ressources, soit dune baisse du prix réel des facteur, par exemple.

Voilà qui nous amène aux avantages procurés par les gains de productivité. A moyen terme, il est généralement admis que la hausse des gains de productivité est une condition nécessaire, si ce nest suffisante de laugmentation des revenus par tête, de la croissance et, plus généralement, du bien-être collectif et individuel. Ainsi, durant la deuxième moitié des années 1990, les Etats-Unis ont connu une progression du PIB par tête beaucoup plus importante quau Japon et en Europe, et plus généralement que dans le reste de lOCDE. De nombreux travaux attribuent cette forte progression du PIB par tête aux Etats-Unis à un bond des gains de productivité. Ceux-ci ont renoué à cette époque avec le rythme de progression enregistré au cours des décennies dites « dor », celles des années cinquante et soixante.

Il convient, maintenant, de sinterroger sur les sources des gains de productivité. On dénombre trois facteurs : laugmentation de lintensité capitalistique, celle de la qualité du travail et enfin la progression de la productivité totale des facteurs.
Laugmentation de lintensité capitalistique (capital deepening) est laugmentation du capital physique par heure travaillée, ou lamélioration de la qualité de ce capital. Le second facteur décrit lévolution de la compétence des employés. On pense, en particulier, à la formation. Enfin, on regroupe, derrière le terme un peu barbare de productivité totale des facteurs, le progrès technique non incorporé dans les facteurs de production, cest-à-dire ce qui ne peut être expliqué leur seule augmentation. Je citerai les rendements déchelle, une meilleure allocation des ressources, lorganisation du travail, leffet de rattrapage

Les effets favorables sur la production et la productivité du travail des techniques dinformation et de la communication passent par trois canaux. Laccélération de la productivité chez les producteurs de TIC et laugmentation de leur part dans la valeur ajoutée totale, ensuite la substitution du capital TIC au capital et au travail, ce qui provoque une augmentation de la productivité du travail et, enfin, les effets sur la productivité totale des facteurs de linvestissement dans les TIC.

La progression des gains de productivité est une condition nécessaire, comme nous lavons vu, de laugmentation de la croissance, de laugmentation du bien-être, mais ce nest pas une condition suffisante. Jen veux pour exemple la période qui nous amène jusquà à la moitié des années 1990 où la productivité du travail dans la zone euro, et dans lEurope continentale en général, sest rapprochée de celle des Etats-Unis sans que la progression du PIB par tête ne connaisse la même évolution. Il semble que les réglementations moins flexibles sur les marchés du travail et des produits soient à lorigine du manque de performance de lEurope continentale durant cette période.

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26/03/2011 L'nvestissement immatériel

L'nvestissement immatériel
L’investissement immatériel est l’ensemble des dépenses lié à l’innovation principalement la recherche et le développement, à la formation des salariés, à l’acquisition de logiciels, au marketing, à la publicité, au développement de l’activité commercial avec notamment le développement d’un réseau de point de vente. Pour une entreprise, l’investissement immatériel permet d’améliorer la compétitivité non liée aux prix notamment l’image de marque où la qualité est un facteur important d’augmentation de la rentabilité de l’entreprise. Plus généralement au niveau d’une économie, l’investissement immatériel est un signe important du degré d’avancement d’une économie et contribue fortement aux exportations et à la croissance économique d’un pays.

Pour la France sur les 20 dernières années, les investissements immatériels ont progressé plus rapidement que les investissements matériels. Ces investissements immatériels représentent environ la moitié des dépenses d’investissements matériels et plus précisément toujours dans le cas de la France les dépenses de formation des salariés d’acquisition de logiciels et de marketing ont progressé plus rapidement que les dépenses de recherche et de développement.

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27/03/2011 Le rôle des infrastructures dans la croissance

Le rôle des infrastructures dans la croissance
En économie, lorsqu’on parle des infrastructures, on parle souvent de réseaux. Il s’agit de réseaux d’électricité, d’eau potable, d’eau d’irrigation, de télécommunication, de chemins de fer, etc.Mais qu’apportent ces réseaux au développement économique ? Prenons un exemple simple d’une laiterie à côté de laquelle va se construire une autoroute.
Qu’est-ce que l’autoroute peut lui apporter au niveau microéconomique ?
Tout d’abord, la laiterie va pouvoir désormais acheminer ses produits vers ses clients plus rapidement, en utilisant moins d’heures de travail et en réalisant ainsi des gains de productivité. Cela lui permet de diminuer ses coûts et donc de devenir plus compétitive.
Ensuite, la nouvelle autoroute va permettre aussi à la laiterie, qui produit des produits frais et donc périssables, d’accéder à des marchés qui sont situés plus loin et donc d’avoir probablement de nouvelles perspectives de développement.
Est-ce que l’impact de l’autoroute se limite à cette seule laiterie ? Non, parce que l’autoroute aura aussi un impact sur les autres agents économiques. On peut supposer qu’elle va favoriser le développement du tourisme, qu’elle pourra faire venir de nouvelles entreprises dans la région qui seront créatrices d’emplois. Mais, cependant, ces effets peuvent être aussi négatifs, car les riverains peuvent être opposés à un bruit supplémentaire qu’elle apporte, et les commerçants de la ville défavorisés, parce qu’un certain nombre de commerces vont certainement s’installer dans la banlieue à proximité. C’est ainsi qu’on dit que les infrastructures sont à l’origine des externalités qui sont souvent positives mais peuvent être aussi négatives, et c’est ainsi qu’il existe une différence fondamentale entre les infrastructures et les autres biens économiques.
Le développement des infrastructures est également influencé par la croissance économique, car les projets infrastructurels sont souvent des projets de grande envergure qui demandent des financements à long terme. Il est évident que le pays riche, qui a une épargne plus abondante, qui a une meilleure visibilité à long terme et un meilleur accès à des financements publics ou privés, est en meilleure position pour assurer le développement de ces infrastructures qu’un pays en voie de développement. C’est ainsi que les projets infrastructurels prennent de plus en plus de place dans les programmes de développement dans des institutions comme la Banque mondiale, la BERD ou la Banque asiatique de Développement. Du fait de présence d’externalité, le secteur privé ne peut pas assurer, à lui seul, le financement et la mise en ½uvre des projets infrastructurels, car il est tout simplement très difficile d’établir la liste des bénéficiaires des infrastructures et donc la liste des gens qui devraient les payer. L’Etat est donc présent en tant que source de financement mais aussi en tant qu’une institution veillant aux respects des intérêts collectifs, car, comme on a pu le voir dans l’autre exemple, les intérêts individuels ou locaux peuvent s’opposer à un bénéfice collectif pour l’économie.

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02/03/2013 L'organisation du travail chez Ford

L'organisation du travail chez Ford
Tiré d'un documentaire sur l'OST.
Dans cet extrait on décrit les principes mis en ½uvre par Henri Ford dans ses usines et leurs principaux résultats. On comprend notamment l'énorme succès de la Ford T et le Five Dollars Day.

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02/03/2013 Les principes tayloriens

Les principes tayloriens
Par stemol
Tiré d'un documentaire sur l'OST
Description des principes de Taylor qui vont révolutionner l'organisation du travail, en particulier dans l'industrie automobile. Ces principes seront repris par Ford qui les poussera plus loin.

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02/03/2013 Le travail industriel avant Taylor

Le travail industriel avant Taylor
Par stemol
Tiré d'un documentaire "l'OST" .
Une séquence qui permet de mettre en valeur l'organisation du travail avant Taylor dans les premiers temps de l'automobile. Le règne des ouvriers professionnels formant une sorte d'aristocratie ouvrière fière de son travail et capable, malgré des conditions de travail et de vie difficiles, de résister au pouvoir patronal.

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02/03/2013 30 Glorieuses, 20 rugueuses. (1/4)

30 Glorieuses, 20 rugueuses. (1/4)
Par stemol
30 Glorieuses, 20 Rugueuses - 50 ans d'économie racontés par la pub
2ème partie: 1945-1954, la reconstruction
de Missika Jean-Louis et Santerelli Valérie, 1997 CNDP
«La télévision parle tous les jours d'économie mais on ne s'en aperçoit pas car elle en parle surtout dans les écrans publicitaires.» Par un défilé d'images de publicité, cinquante années d'économie de la France se révèlent, d'une façon simple, chronologique et rigoureuse, mais aussi souvent drôle. Beaucoup plus qu'une collection de publicités, c'est également une véritable galerie de portraits des hommes politiques qui ont marqué les cinquante dernières années. Il s'agit d'un film intelligent sur l'évolution économique de la France et les rôles successifs que va endosser l'État devenu « providence », puis libéral. Avec le recul, c'est également une histoire de la vie ordinaire des Français, de la pénurie à la prospérité, de la croissance à la crise.
notice : www.cndp.fr/archivage/valid/39436/39436-5578-5370.pdf

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02/03/2013 30 Glorieuses, 20 rugueuses. (2-4)

30 Glorieuses, 20 rugueuses. (2-4)
Par stemol
Années 60 : Les jeunes ne sont pas dans la pub, ils sont dans la rue

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02/03/2013 30 Glorieuses, 20 rugueuses. (3/4)

30 Glorieuses, 20 rugueuses. (3/4)
30 Glorieuses, 20 Rugueuses - 50 ans d'économie racontés par la pub
3ème partie: 1974-1984, la crise (les 20 rugueuses)
de Missika Jean-Louis et Santerelli Valérie. 1997 CNDP
«La télévision parle tous les jours d'économie mais on ne s'en aperçoit pas car elle en parle surtout dans les écrans publicitaires.» Par un défilé d'images de publicité, cinquante années d'économie de la France se révèlent, d'une façon simple, chronologique et rigoureuse, mais aussi souvent drôle. Beaucoup plus qu'une collection de publicités, c'est également une véritable galerie de portraits des hommes politiques qui ont marqué les cinquante dernières années. Il s'agit d'un film intelligent sur l'évolution économique de la France et les rôles successifs que va endosser l'État devenu « providence », puis libéral. Avec le recul, c'est également une histoire de la vie ordinaire des Français, de la pénurie à la prospérité, de la croissance à la crise.
notice : www.cndp.fr/archivage/valid/39436/39436-5578-5370.pdf

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02/03/2013 30 Glorieuses, 20 rugueuses. (4/4)

30 Glorieuses, 20 rugueuses. (4/4)
Par stemol
30 Glorieuses, 20 Rugueuses - 50 ans d'économie racontés par la pub
4ème partie: 1984-1997, la mondialisation
de Missika Jean-Louis et Santerelli Valérie. 1997 CNDP

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02/03/2013 Dossier Brésil – Progrès et fragilités de l'économie brésilienne

Dossier Brésil – Progrès et fragilités de l'économie brésilienne
Si le Brésil n’est pas le BRIC aux performances économiques les plus remarquables en matière de croissance et d’investissement, on se doit de souligner ses progrès. Il est à créditer d’une spectaculaire réussite en matière d’inflation. Après avoir connu une hyperinflation supérieure 2000%, il contrôle désormais la hausse des prix.
Il doit cependant chercher à pérenniser sa croissance ce qui implique de faire sauter un certain nombre de freins. Les très fortes inégalités sociales risquent de peser sur la consommation et la croissance, si une classe moyenne plus importante, n’émerge pas. Il doit également rattraper son retard dans le domaine des infrastructures : énergie, eau, transport.
Enfin, comme toute économie émergente, il doit chercher à concilier croissance coûteuse en énergie et gaz à effet de serre et un développement durable.

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02/03/2013 Economie chinoise - Croissance

Economie chinoise - Croissance


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02/03/2013 L'investissement public

L'investissement public
L’investissement public c’est l’ensemble des dépenses engagées par l’Etat et les collectivités locales en équipement collectif, ce que l’on appelle aussi les infrastructures publiques. Ce sont des investissements coûteux qui ne peuvent pas tous être supportés par le secteur privé. Par exemple, certaines autoroutes, les dépenses d’armement, les infrastructures énergétiques, ou bien encore les terrains de sport, ou les écoles, ou les hôpitaux.
Dans la comptabilité nationale, on estime que l’investissement public, pour une économie développée, représente environ 3% du PIB et 15% de l’investissement total. Alors quelle est la finalité de l’investissement public ? Tout d’abord, il améliore les conditions générales de l’offre, donc il joue un rôle stratégique certain dans le développement économique d’un pays et dans l’élévation de son potentiel de croissance à moyen terme. Il y a aussi une forte notion de compétitivité attachée à l’investissement public puisque, en soignant et en développant ses infrastructures collectives, un pays va se faciliter la tâche pour attirer des capitaux étrangers qui vont, à leur tour, participer au développement économique du pays.

On peut illustrer tout ceci en regardant, par exemple, ce qui se passe dans les pays émergents. Ce sont des économies qui, par définition, ont un niveau de développement plus faible et où les Etats ne dégagent pas forcément des marges de man½uvre suffisantes pour financer des projets d’infrastructures et qui font parfois appel à de l’aide internationale. Mais ce sont aussi des économies à faible coût de production et qui cherchent à attirer des capitaux étrangers. Donc elles vont se discriminer justement les unes par rapport aux autres en fonction du niveau et de la qualité de leurs infrastructures publiques. L’Inde est l’exemple typique d’une économie émergente qui souffre justement d’un déficit d’infrastructures publiques qui gêne la production pour les entreprises.
Ce sont des contraintes très fortes sur la croissance à moyen terme, plus une économie a du retard dans ce domaine et plus ces retards sont difficiles à rattraper.

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02/03/2013 Le taux d'intérêt

Le taux d'intérêt
L’investissement suppose parfois le recours à des fonds extérieurs à l’entreprise. C’est là que le taux d’intérêt intervient. Si une entreprise doit s’endetter pour pouvoir financer un investissement, plus le taux d’intérêt va être élevé et plus, naturellement, elle va sentir qu’il est difficile d’investir, parce que c’est coûteux. Cela étant, il faut nuancer...

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02/03/2013 Les trente glorieuses

Les trente glorieuses
Une présentation de la période de croissance qu'a connue le mode occidental entre 1945 et 1970 en France, en Allemagne, en Italie et aux États-Unis.

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02/03/2013 Jacques Attali-

Jacques Attali-
L'Express

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02/03/2013 Théorie de la croissance endogène

Théorie de la croissance endogène


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